Enfance
vue de Djebel-Djelloud et Dubosville
A l’école il y avait peu de "vrais" français. Maltais, siciliens, sardes, tunisiens constituaient la grande majorité des classes de cette banlieue.
La probabilité que j’avais alors de faire des études et d’intégrer à l’Ecole Centrale était quasiment nulle. C’est pourtant ce qui s’est passé. La vie au sein de l’usine dont mon grand père était le contremaître a développé chez moi la curiosité pour les machines multiples qui composaient celle-ci.(Chaudières pour produire de la vapeur, machine à vapeur, dynamos pour produire du courant, etc.) J’ai fait mon "stage ouvrier" bien avant l’époque où c’est devenu à la mode, comme une sorte de snobisme pour des gens qui s’empresseront de fuir ce milieu.
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